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  • LUNDI 5 MARS 2018 NADIA DJABALI

    Les salaires pas très glamour de la mode

     

    La mode, c’est 150 milliards d’euros de chiffre d’affaires dont 80 milliards pour le seul secteur de l’habillement. Pourtant, les effectifs de salariés de la fabrication textile, de l’habillement, du cuir et de la chaussure ont diminué de 35 % en 10 ans. Dans un secteur qui met en avant la beauté, le pouvoir et l’argent, les salaires de base dans les ateliers peinent à dépasser le Smic et les rémunérations sont constituées, notamment dans les boutiques, en grande partie par des commissions.

    Bianca, vous déléguée syndicale ? Mais vous me servez depuis 15 ans !Voilà comment ont réagi un certain nombre de clients, lorsqu’à leur grande surprise ils ont appris que la vendeuse était déléguée FO. Entrée il y a 18 ans chez Façonnable, Bianca Bossuyt a été la première déléguée issue des boutiques. Cette enseigne niçoise vend des vêtements masculins haut de gamme, du chic décontracté, tendance french riviera.

    Un « chic décontracté » qui n’est pas d’actualité pour le personnel des boutiques. Sur le plan financier, les vendeurs sont en partie rémunérés à la commission. On a un salaire de base, généralement le Smic et une commission individuelle indexée sur le chiffre d’affaires de la boutique, énumère Bianca Bossuyt. Pas de prime d’ancienneté, pas de 13e mois. Fut un temps, les vendeurs ont très bien gagné leur vie. Les problèmes sont arrivés avec la chute du chiffre d’affaires. On s’est retrouvé avec des vendeurs qui avaient plus de vingt ans d’ancienneté qui gagnaient quasiment le Smic., continue la déléguée FO. La direction n’a pas voulu revoir ce système de rémunération et a persisté à dire que l’aspect financier n’était pas l’unique source de motivation.

    Entre 2015 et 2017, deux PSE ont fait fondre les effectifs de Façonnable de 450 postes à une centaine de salariés. Le siège de Nice a été fermé ainsi que la majorité des boutiques. Pour le moment, nous n’avons aucune vision sur l’avenir.

    Des salaires à la traine chez Vuitton

    Bien plus « luxe » que Façonnable : Louis Vuitton. Ses ateliers d’Asnières créent et fabriquent des commandes spéciales. De la haute maroquinerie réservée à une clientèle fortunée. Pourtant les salaires, eux, restent à la traîne. L’ancienneté a été gelée il y a une dizaine d’année et après trente ans de carrière, le salaire de base culmine à 2 000 euros. les gens n’imaginent pas ça quand on leur dit qu’on travaille chez Vuitton, remarque Jean-Marc Damelincourt, représentant syndical. Beaucoup de jeunes sont partis, certains chez les concurrents, d’autres ont changé de métier car ils se sont rendu compte que la maroquinerie ne payait pas.

    Meilleure ambiance sociale chez Hermès Sellier. Nos salaires ne sont pas mirobolants mais la participation et l’intéressement les font bondir à 16 mois par an, soupèse Véronique Louvrier, vendeuse dans la boutique de la rue du faubourg Saint-Honoré. Cette déléguée FO précise que chez Hermès, l’intéressement est collectif et non individuel et que le dialogue social se déroule dans de bonnes conditions. Hermès embauche et ne licencie pas, poursuit-elle. On sait bien qu’on ne trouvera pas mieux ailleurs.

    Un taux de croissance à deux chiffres

    Dans les entreprises de luxe tout le personnel qui a un lien direct avec la vente est intéressé au chiffre d’affaires. Il y a encore quelques années chez Chanel, cette part variable pouvait monter jusqu’à 80 % de la rémunération. Aujourd’hui, la répartition se situe autour de 60 % de part variable et 40 % de salaire fixe. Les vendeurs ont signé ce type de contrat avec tous les risques qu’ils comportent, remarque Jacques Techer, secrétaire général de la fédération FO en charge de ce secteur. Ils ont joué le jeu, mais depuis quelque temps, même chez Chanel, les directions veulent changer cette répartition. Pourquoi ? Parce que les chiffres d’affaires dans la profession sont très importants. Les groupes de luxe français ont présenté en 2016 un taux de croissance moyen de 14,9 %. C’est pourquoi ils voudraient bien inverser la répartition entre le fixe et le variable.

    Dans ces grandes maisons comme Vuitton, Chanel, Hermès, les vendeurs en boutique bénéficient donc de rémunérations plus qu’attractives même si arrivés à la retraite, ce système de part fixe et de part variable devient une source de grosses déconvenues. Mais la plupart des vendeurs sont jeunes et ne pensent pas à la retraite, regrette le secrétaire général.

    les enjeux sont dans le back-office

    Bien plus préoccupant, signale Jacques Techer, est le sort réservé aux salariés travaillant dans le « back-office », notamment dans les ateliers. Ces derniers ne sont guère payés plus que le Smic, malgré un savoir-faire très pointu qui fait la renommée internationale, donc le chiffre d’affaires, des grandes maisons. Au niveau de la branche, la grille de salaire commence légèrement au-dessus du Smic, puis stagne très rapidement. La question de la sous-traitance est également très préoccupante, ajoute-t-il. J’ai rencontré des couturières qui sont de véritables artistes et qui sont rémunérées au Smic parce que lorsque le sous-traitant prend une commande, 93 % du prix de vente va à la maison mère et il ne lui reste que 7 % pour tout payer.


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  • Tout ce qui change au 1er janvier 2017

    Argent, assurances, impôts, gaz, sécurité routière, travail...

     01/01/2017 08:33 CET | Actualisé 01/01/2017 08:33 CET

    2017 - Plusieurs changements interviennent au 1er janvier 2017 dans la vie quotidienne des Français.

    Argent, assurances, impôts, gaz, sécurité routière, travail... Le HuffPost fait le point sur toutes les nouveautés de ce début d'année.

     

    • Le Smic augmente de 0,93%

    Le Smic horaire passe de 9,67 à 9,76 euros brut. Un salarié rémunéré au Smic touchera ainsi 1480,27 euros brut mensuels. Après déduction des cotisations sociales, il recevra 1153 euros sur son compte bancaire, soit une hausse de 0,93% par rapport à 2016, ce qui correspond à une somme de 11 euros.

     

    Comme lors des quatre dernières revalorisations, le gouvernement n'a pas accordé de "coup de pouce", se contentant d'appliquer le calcul de hausse mécanique du Smic, qui dépend de l'inflation et de l'évolution des salaires pour les ménages les plus modestes.

     

    • La facture de gaz augmente de plus de 5%

    La facture de gaz des quelque 5,8 millions de consommateurs soumis aux tarifs réglementés d'Engie (ex-GDF Suez) augmente de plus de 5%, en raison de la hausse d'une taxe et des coûts d'approvisionnement du fournisseur.

     

    La hausse est de 2,4% pour les foyers qui utilisent le gaz pour se chauffer, de 0,8% pour ceux qui l'utilisent pour la cuisson et de 1,4% pour ceux qui en font un double usage cuisson et eau chaude.

    A cette hausse s'ajoute l'effet de la majoration de la taxe intérieure sur la consommation de gaz naturel (TICGN), qui s'applique à tous les consommateurs particuliers de gaz. Elle passe à 5,88 euros le mégawattheure (MWh), contre 4,34 euros actuellement, entraînant une hausse d'environ 3% de la facture des consommateurs abonnés aux tarifs réglementés.

    • L'impôt sur le revenu baisse (précocement)

    La baisse de l'impôt sur le revenu promise aux ménages pour l'année 2017 s'applique dès le mois de janvier, et non en août, comme ça aurait dû être le cas. Elle doit bénéficier à cinq millions de contribuables parmi les classes moyennes. Elle représente au total un milliard d'euros.

    • Les tarifs bancaires augmentent

    Selon une étude pour Le Figaro réalisée par le comparateur meilleurebanque auprès de 54 banques, la moitié des établissements bancaires augmentent leurs tarifs cette année. Résultat, pour les frais de tenue de compte, la hausse moyenne est de 13%; pour les cotisations pour les cartes bancaires classiques à débit immédiat, elle est de 3,35% en moyenne. Au contraire, les tarifs des cartes à débit différé diminuent eux de 1,12% en moyenne.

    • Des mesures de la loi Travail entrent en vigueur

    Les décrets concernant le volet temps de travail de la loi El Khomri, promulguée en août 2016, deviennent effectifs. Il est désormais possible de passer, par accord d'entreprise, à une durée hebdomadaire de travail de 46 heures au lieu de 44 heures maximum sur douze semaines.

    Un accord d'entreprise ou d'établissement peut aussi fixer un taux de majoration des heures supplémentaires inférieur à ce que prévoit la branche, mais sans descendre en dessous de 10%.

    D'autres décrets, relatifs notamment aux congés spécifiques, au travail de nuit ou au droit à la déconnexion, entrent en vigueur, que vous pouvez découvrir en détails ici.

    • Le tiers payant devient progressivement obligatoire

    Les patients couverts à 100% par la Sécurité sociale (personnes atteintes d'une maladie de longue durée, femmes enceintes) bénéficient automatiquement du tiers payant (dispense d'avance de frais lors des consultations médicales). Pour tous les autres patients, ce droit obligatoire sera déployé à partir de janvier et jusqu'au 30 novembre 2017.

    • Du nouveau pour l'imposition liée aux services à domicile

    Le crédit d'impôt dont bénéficient les actifs et retraités imposables employant un salarié à domicile est étendu à tous, et notamment les retraités non imposables. Les ménages concernés recevront un chèque du Trésor public en 2018 pour les dépenses engagées en 2017.

    • Il n'y a plus que des paquets neutres de cigarettes chez votre buraliste

    Les buralistes français ne peuvent vendre uniquement que des paquets neutres, sans logo ni couleur spécifique. Finis les paquets gris métallisé, blanc, noir ou rouge, dont les derniers exemplaires étaient écoulés ces dernières semaines chez les revendeurs. Désormais, ils sont tous kaki et beaucoup moins identifiables: l'inscription de la marque est uniformisée, avec une seule typographie et une seule couleur. 

    • Vous pouvez divorcer sans juge

    Dans le cadre de la publication de la loi de modernisation de la justice du XXIe siècle, le divorce par consentement mutuel peut désormais se faire sans passer devant un juge. Cette voie contractuelle est ouverte à tous les époux qui s'accordent sur le principe et les conséquences de la rupture, malgré toutefois deux exceptions: l'un des enfants mineurs du couple demande à exercer son droit à être entendu par le juge; l'un des époux fait l'objet d'une mesure de protection.

    • De nouvelles règles pour le don d'organes

    Des changements, actés par la loi Santé votée en décembre 2015, prévoient un renforcement du "consentement présumé" au don d'organes tout en ouvrant la voie à d'autres possibilités que le registre national des refus. Les personnes qui refusent de donner leurs organes après leur décès peuvent s'inscrire en ligne sur le registre national des refus, et non plus seulement par courrier postal, comme actuellement. De plus, elles ont aussi la possibilité d'exprimer leur volonté par un écrit confié à leurs proches, ou même de vive-voix.

    • Le surteintage des vitres avant d'une voiture est interdit

    Les conducteurs de véhicule dont les vitres avant (pare-brise et vitres latérales) sont surteintées seront sanctionnés d'une amende de 135 euros et se verront retirer trois points de permis. Le "taux minimal de transparence est de 70%" sur les vitres, rappelle le Conseil national de la sécurité routière (CNSR), précisant qu'au-delà de ce seuil, le teintage des vitres est dangereux.

    • Les tarifs de stationnement des autocars à Paris augmentent (beaucoup)

    Le Pass autocar, qui permet aux autocars de tourisme de stationner dans des emplacements réservés à Paris, augmente de 60% pour les autocars aux normes anti-pollution Euro 4. Soit une hausse de 99 euros pour une journée et une nuit, pour une facture totale de 308 euros. Au contraire, pour les autocars les moins polluants (Euro 5 et 6), la facture journalière baisse de 18% au maximum.

    • Le prix du Parisien augmente

    Le Parisien passe de 1,20 à 1,30 euro, alors qu'il coûtait un euro seulement en 2010, et Aujourd'hui en France d'1 euro à 1,10 euro.

    • Fin des sacs plastique aux rayons fruits et légumes

    Les sacs plastique très fins, déjà bannis des caisses des commerces depuis juillet, le sont des rayons fruits et légumes. Sont autorisés les sacs faits d'un mélange plastique-amidon, en papier, en tissu ou en plastique épais.

    • De nouvelles règles pour les pesticides

    Les pesticides, fongicides et insecticides ne sont plus en vente libre. Et ils ne peuvent plus être utilisés pour l'entretien des espaces publics, à l'exception des terrains de sport et des cimetières.

    • Mise en place d'une "lettre de liaison" à la sortie d'hôpital

    Les hôpitaux et cliniques doivent remettre au patient qui sort une "lettre de liaison" (synthèse médicale du séjour, traitements reçus, ordonnance de sortie, etc.) pour assurer la continuité des soins.

    • Des pièces détachées d'occasion chez les garagistes

    Les garagistes doivent proposer des pièces détachées d'occasion afin de privilégier l'utilisation de pièces recyclées.

    • Infractions routières avec un véhicule d'entreprise

    Les entreprises doivent communiquer le nom de leurs salariés ayant commis une infraction au code de la route avec les véhicules de société.

    • Votre bulletin de paie peut devenir électronique

    L'employeur peut envoyer les bulletins de paie sous forme électronique, sauf opposition du salarié. Ils sont consultables sur le site internet du Compte personnel d'activité.

    • Un nouveau bonus à l'électrique

    Bonus de 1000 euros pour l'achat d'un véhicule deux ou trois roues motorisé électrique. Maintien de celui de 10.000 euros quand on remplace une vieille voiture diesel par une électrique.

    • L'aide aux jeunes généralisée

    Généralisation à toutes les régions de la garantie jeunes, un accompagnement renforcé d'une durée d'un an, avec 460 euros d'aide par mois. Ouvert aux jeunes qui ne sont ni étudiants, ni salariés, ni stagiaires.

    • La "taxe terrorisme" relevée

    La taxe prélevée sur chaque contrat d'assurance (auto, habitation...) pour indemniser les victimes du terrorisme est relevée de 4,30 à 5,90 euros.

    • La recette de la bière peut changer

    Un nouveau décret sur la bière, qui autorise les brasseries à développer de nouvelles recettes, entre en vigueur. Il impose comme principe de base que la bière soit fermentée et obtenue à partir d'un moût préparé avec au moins 50% de malt de céréales, d'eau et de houblon. Il formalise avec ça l'utilisation d'ingrédients comme les herbes aromatiques ou les épices à condition qu'elles "n'apportent pas leur typicité dans le goût du produit final". Sur l'étiquette, son brasseur doit indiquer l'arôme de la bière aux consommateurs.

    • Des mentions obligatoires sur les plats cuisinés (reporté au 31 mars)

    Au-delà de certains seuils (8% de viande, 50% de lait), les plats cuisinés doivent obligatoirement mentionner l'origine de ces ingrédients. Seules les préparations 100% viande française ou 100% lait français peuvent porter l'étiquette "Produit d'origine française".

     

    Un délai supplémentaire de trois mois, jusqu'au 31 mars 2017, a finalement été accordé aux industriels de l'agroalimentaire pour mettre en œuvre cet étiquetage. Ce report est destiné à permettre aux industriels de s'adapter et d'écouler sur le marché les produits déjà étiquetés afin d'"éviter le gaspillage", selon le ministère de l'Agriculture.

     

     

     

     


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  • D.B. avec AFP

    FINANCES C'est l'assurance habitation qui va connaître l'augmentation la plus élevée, de 2,50% en moyenne, d'après les projections du cabinet d’études Fact & Figures...

     

    Des dépenses incompressibles qu’il faudra assumer. En 2017, il faudra débourser davantage pour assurer son logement ou son véhicule, les assureurs répercutant notamment sur leurs tarifs la hausse des coûts liés aux réparations des automobiles et aux catastrophes naturelles.


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  • Manuel Valls, en campagne à Strasbourg, a été enfariné jeudi par un opposant qui a voulu interpeller l'ancien Premier ministre sur le 49.3 alors que ce dernier s'apprêtait à entrer dans le café Broglie juste à côté du marché de Noël

    © Photo : capture d'écran BFMTV

     Manuel Valls enfariné à Strasbourg

    "49.3 on n'oublie pas ! On n'oublie pas !", a lancé l'auteur de l'incident en s'adressant à Manuel Valls. L'individu, un homme d'une trentaine d'années est parvenu à s'approcher de l'ancien Premier ministre par derrière, ont constaté les journalistes sur place. Il a été interpellé dans la foulée par la police. L'incident a eu lieu vers 14 heures à l'entrée d'un café où Manuel Valls était attendu pour rejoindre des élus de gauche et des sympathisants. Le Premier ministre est resté impassible, s'essuyant le visage avec un mouchoir avant de s'installer dans cet établissement qui jouxte le marché de Noël. 

    Il y a une semaine, Manuel Valls a bousculé la campagne pour la primaire du PS, en avançant la proposition choc d'une suppression du 49-3, arme controversée qu'il a utilisée pour imposer la loi travail 

     

    • France 3 Alsace et Auberie Perreaut
    • Publié le 22/12/2016 à 15:12, mis à jour le 22/12/2016 à 18:56

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  • La préfecture du Bas-Rhin a répondu favorablement à une demande de l'association des commerçants des Vitrines de Strasbourg qui voulait obtenir l'autorisation d'ouvrir les magasins le premier dimanche des soldes d'hiver. Une décision contestée par la CGT.

     

     

    Les commerçants strasbourgeois se plaignent depuis quelques semaines d'une perte de leur chiffre d'affaires. Le marché de Noël, maintenu malgré les risques d'attentat, aurait fait fuir les consommateurs locaux, gênés par les difficultés d'accès au centre-ville. Aujourd'hui, les commerçants estiment avoir perdu entre 20% et 30% de recettes selon Pierre Bardet, le directeur général des Vitrines de Strasbourg. Prévenante, l'association avait demandé, dès le mois de novembre, de pouvoir ouvrir un dimanche supplémentaire afin de compenser les pertes éventuelles. Les soldes commenceront le 11 janvier et le préfet est d'accord pour le 15. "Ce jour-là, les salariés seront payés double", assure Pierre Bardet, contacté par téléphone ce vendredi.

    Prévenue le 19 décembre, la CGT conteste cette décision. Jacky Wagner, le secrétaire général du syndicat, vient d'adresser une lettre à la direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (Direccte) à Strasbourg. Pour lui, les personnes qui ont milité pour le maintien du marché de Noël le désigne aujourd'hui comme le responsable de la baisse des recettes des commerçants. Joint par téléphone vendredi matin, il s'inquiète d'abord pour les salariés : "rien ne garantit que les enseignes majoreront les salaires des employés qui, pour certains, travaillent déjà trois dimanches de suite en décembre", ajoutant qu'une grève et des manifestations sont envisagées ce jour-là. 

    En 2015 déjà, les Vitrines de Strasbourg avaient obtenu un dimanche de plus après les fêtes et pour les mêmes raisons. Mais les magasins avaient ouvert le deuxième dimanche après le début des soldes. 

     

    • Par Philippe Dezempte
    • Publié le 23/12/2016 à 11:45

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    • LE Syndicat FO Amcor tien a votre disposition le calendrier des formations 2017.

      Je vous rappel que pour devenir un meilleur militant que vous n'êtes déjà, il est primordiale de se perfectionner en se formant. 

      Merci de me dire quelle est la formation que vous aimeriez faire en 2017 ?
    • Merci de vous faire connaitre au prés de l'ensemble de nos élus.
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